Le Centre de Recherche pour l'Etude et l'Observation des Conditions de Vie (CREDOC) et l'Institut Français de la Mode (IFM) ont réalisé un rapport sur « le dispositif de soldes, soldes flottants, promotions, ventes et autres soldes privés ».
Selon ce rapport, « les soldes flottants n'ont pas eu d'impact décelable ni sur le niveau des ventes ni sur le niveau des prix.
Leur pratique régresse, les commerçants rejetant le délai de déclaration préalable d'un mois imposé par la loi. En outre, dans un tiers des cas, les commerçants choisissent d'accoler les soldes flottants à la période des soldes d'hiver ou des soldes d'été, afin de l'allonger. Aussi, le rapport suggère de revenir à la pratique antérieure à la LME : deux fois six semaines de soldes définies réglementairement. On respecterait ainsi la volonté des professionnels de privilégier le caractère global et collectif des soldes, il n'y aurait plus de périodes désordonnées en dehors des soldes saisonniers, et le consommateur conserverait la durée totale des soldes comme aujourd'hui. »
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